INTRODUCTION Le Conseil phytosanitaire Interafricain de l’Union Africaine (CPI-UA) est l’une des dix Organisations Régionales de Protection des Végétaux (ORPV) de la Convention Internationale pour la Protection des Végétaux (CIPV). Dans son cadre organique, le CPI élabore ses programmes en concertation avec les Organisations Nationales de la Protection des Végétaux (ONPV) et les Communautés Economiques Régionales (CER) des États membres.

Chers lecteurs Monsieur le DG/CPAC au Congo Brazzaville Nous restons fidèles à notre logique de progression annoncée dans la dernière parution. Ainsi, après le diagnostic interne nous ayant permis d’amorcer le déroulement d’une série de mesures et d’actes organisationnels tendant à améliorer la visibilité du Comité Inter-Etats des Pesticides de l’Afrique Centrale (CPAC) sur les plans institutionnel, scientifique, administratif et financier, le cap a été mis sur les Etats membres de la Communauté Economique et Monétaire de l’Afrique Centrale (CEMAC)

Dr Armand Claude MVILA, Directeur Général de l’Institut National de Recherche Agronomique du Congo, chargé de la recherche en protection des végétaux, spécialiste en virologie des plantes. « Le Cameroun est le seul pays qui a réussi à mettre sur pied un système de gestion des pesticides »

RESUME EXECUTIF Cette étude porte sur la contamination par les POPs sur un total de six sites : le plus grand parc mondial de rebut de déchets électroniques d’Agbogbloshie (Ghana) ; des incinérateurs de déchets médicaux à Accra ((Ghana), Kumasi (Ghana) et Yaoundé (Cameroun) ; et deux sites de décharge de déchets avec brûlage à ciel ouvert à Yaoundé (Cameroun). L’étude a mesuré les POPs dans les œufs parce que les poules en élevage libre sont des « échantillonneurs actifs » des matériaux contenus dans la terre.

L’an deux mil vingt, le 15 juillet, une délégation du Comité Inter-États des Pesticides de l’Afrique Centrale (CPAC) conduite par son Directeur Général s’est rendue à Douala, Cameroun pour une mission de travail.